Internet, célébrations et messes, temps forts, autant de lieux pour rencontrer Jésus et cultiver la fraternité.
A Noël, nous avons fait le plein d’espérance en nous rapprochant de l’enfant Jésus dans la crèche. Aujourd’hui, la distance que la crise sanitaire crée, nous rappelle combien la dimension fraternelle est importante pour nous aider à continuer à accompagner les enfants. Nous échangeons donc davantage entre les catéchistes afin de trouver de nouvelles idées pour garder le contact avec les familles. Et ce que nous dit le Seigneur aujourd’hui « Voici que je fais toutes choses nouvelles » (Ap. 21,5), nous entraîne à nous recréer !
Créer des moments joyeux et actifs
A nous les ordinateurs pour des cours par mail ou par Zoom, des nouveaux temps forts comme celui du samedi matin pour les CE1 et CE2 ou la célébration des Cendres pour tous les enfants, qui marquera l’entrée en carême (40 jours offerts par le Seigneur pour nous rapprocher de lui en multipliant nos gestes de charité) ! Les catéchistes cherchent à créer, lors de ces temps forts, des moments plus joyeux et plus actifs pour nos jeunes avec davantage de bricolage, de chants et de temps de prière !
Souplesse et flexibilité dans l’organisation
Évidemment, ces confinements et déconfinements ne sont pas faciles à vivre pour l’organisation. Nous devons envoyer davantage de mails pour prévenir les familles des perpétuels changements, et ces dernières doivent elles aussi s’adapter. Merci aux parents pour leur flexibilité !
Par exemple, la dernière messe-étape, moment important de la préparation à la première communion a dû être avancée dans la précipitation. Pratiquement tous les enfants étaient présents et cette assiduité nous réchauffe le cœur !
Cette période offre donc aux catéchistes de se réinventer et les enfants semblent toujours beaucoup aimer le caté comme en témoignent leurs petits mots écrits au tableau lors d’un cours à l’école de l’Adoration
N’oublions jamais, comme nous le répète notre pape François, que « Notre Dieu est le Dieu des surprises ! », notre Espérance en tant que Chrétien, est le meilleur remède à cette période si particulière.
Astrid de VILLANFRAY